Recherches médicales théoriques et appliquées en immunologie

Notion de résonance d'échelle

En sciences, nous sommes désormais parvenus à établir des relations entre différents supports informationnels. Ainsi, l'ADN est transcrit en ARN, l'ARN est traduit en protéines, et la structure protéique peut être associée, en biologie, à une fonction précise. Mes recherches ont permis d'imaginer et de réaliser une association entre le langage mathématique, l'informatique, et enfin la séquence de protéines originales fonctionnelles appelées "info-protéines". Comme si une transposition colinéaire d'une structure sémantique signifiante pouvait transmettre une intention et une fonction, et fournir une efficacité conjointe aux programmes informatiques et aux protéines associées.

Les mathématiques et l'informatique : le "c-assembly machine language" ou c-aml

J'ai conçu une association entre les expressions mathématiques symboliques regroupées dans la définition du c-aml et un langage informatique original qui permet d'appliquer la résolution symbolique d'un problème (de manière formelle) de manière fonctionnelle. Le langage a été appelé "c-assembly machine language" pour sa versatilité et son application première au langage machine des calculateurs hewlett-packard (assembleur saturn). Pour cela, chaque expression s'est vue attribuer, de manière injective, un moyen informatique associé tel qu'un appel précis et déterminé par l'expression mathématique dans une routine générique.

Application : les info-protéines

Selon une relation cette fois presque entièrement bijective, les différents appels ont été transcrits en acides aminés : l'appel 1 a été codé en L-alanine (A), l'appel 2 en glycine (G), et l'appel 3 en hydroxyglycine (lettre oméga majuscule) voire exceptionnellement, en fin d'expression, en ampliamine (lettre pi majuscule).

A partir d'un cahier des charges donné, la résolution symbolique du problème m'a conduit à poser une série d'équations symboliques transcrites en c-aml puis en info-protéines. C'est ainsi qu'est née l'Epée d'Or, nom que j'ai donné à une protéine originale destinée à protéger l'organisme de façon immunitaire. Non seulement cette découverte s'est révelée reconnue comme du "soi", mais elle s'est mise au service du système immunitaire en appliquant le programme qui gouverne sa séquence et sa relation structure-fonction. Elle est virtuellement capable d'engendrer une réponse immunitaire élaborée et spécifique suffisante pour éradiquer un antigène ciblé spécifique tout en conservant une structure pratiquement immuable (elle se comporte comme une ADN polymérase et une exopeptidase, et se trouve suceptible de s'adjoindre un ou deux acides aminés alanine en fin de chaîne).

Voici ce que j'ai écrit en termes de "cahier des charges" pour cette découverte :

Notion de système immunitaire :
a) vérification de l'intégrité de l'âme des différents constituants => soi ou non-soi
(portée nécessaire compatible avec la taille de l'organisme)
b) si non-soi : tolérance, symbiose, réaction d'illumination (telle l'endothevir) pour une éventuelle coopération
OU : désactivation, expulsion, destruction voire anihilation de la menace antigénique.
Production éventuelle de moyens de lutte originaux...
c) réaction à mémoire : prendre en compte le risque de perte en cas de plasmaphérèse
- Réaction immunitaire primaire
- Réaction immunitaire secondaire
- Réaction immunitaire tertiaire avec une réaction amlifiée d'autant plus que l'agression gagne en violence
(on peut parler de réaction immunitaire à réponse exponentielle).

Les expressions mathématiques purement symboliques pour la résonance d'échelle sont :

α + β = β β +++ = 0 ? ++ +++ = 0 ++ = 0 ? + ++ = 0 ++ =0 =0 =0 =0
αβ 2 + σ 2 ∫(0,∞) β + e G n
α / α2 + dT/∆ + ∆/∇ + ∞/0 + ∫(0,∞) - dt/d∆ ∂/∂Ω
++ dR / dp A1 ⇒ A2 ⇒ A3 ∫(e,∞) 0 + π
∞ // ∞ // ∆ 0 α + ∆ 0 β
η = 0 ⇒ ∆ = μχ ++
E(Au) = ∫(0,0) 1/∆
∆ ( b N ) >> Co ∫ ε
dE / dt = 1/0 ou 1/0. ou 1/0..

Ce qui donne :

GGG G ggG g ggG ggG GGG g γ gG GG GGG g γ GG g γ gG G GG g γ GG gγ gγ gγ gγ
GGG ggG gg G gg gγ gG γ gGGGgGGGg ggG G g GGG gg
GGG g GGγγG G g G g gGGGg G gGGGg g GGG g G gGGGg g γ G gG γ gGGG g gg gγ gg g g gGGGg gG g gG GGG
GG g GG g g gγ GGG g gGG GGG gg gGG GGG ggg g G g gGGGg γG (gg) ou (γγ)
gGGGg gGg gGGGg gGg gGGGγg GGG G gGGGγg ggG
ggg gγ ggG gggg g ggg gg g GG
GG γGγ g gG γ γ g g gGGGg
gggg gG ggg γ gG gG γγγ gG g
g G g g g g g g γ (G)(GG)

D'où la structure de l'épée d'Or : (G -> A, g -> G et γ -> Ω)

AAA A GGA G GGA GGA AAA GΩ GA AA AAA GΩ AA
GΩ GAA AA GΩ AA GΩ GΩ GΩ GΩ
AAA GGA GG A GG GΩ GA Ω GAAA GAAAG GGA A G AAA GG
AAA G AAΩΩA A G A G GAAAG A G AAAG G AAAG G AAA G GAAAG GΩ A GA GAAAG GG GΩ GG G G GAAAG GA G GA AAA
AA G AA G G GΩ AAA G GAA AAA GG GAA AAA GGG
GA G GAAAG ΩA (GG) ou (ΩΩ)
GAAAG GAG GAAAG GAG GAAA ΩG AAA A G AAA ΩG GGA
GGG GΩ GGA GGGG G GGG GG G AA
AA ΩA Ω G GA Ω Ω G G GAAAG
GGG GA GGG Ω GA GA ΩΩΩ GA G
GA G G G G G G Ω (A) (AA)

...Il y a donc des variantes : la fin de la protéine peut être constituée de une à 3 alanines ; en position intermédiaire, on peut choisir alternativement deux glycines remplaçant les deux hydroxyglycines pour une réaction immunitaire plus protectrice qu'offensive, ce qui dont deux structures parallèles avec un mode de terminaison en nombre variable d'alanines.

Voici la structure brute canonique :
AAAAGGAGGGAGGAAAAGΩGAAAAAAGΩAAGΩGAAAAGΩAAGΩGΩGΩGΩAAAGGAGGAGGGΩGAΩGAAAGAAAGGGAAGAAAGGAAAGAAΩΩAAGAGGAA
AGAGAAAGGAAAGGAAAGGAAAGGΩAGAGAAAGGGGΩGGGGGAAAGGAGGAAAAAAGAAGGGΩAAAGGAAAAAGGGAAAAAGGGGAGGAAAGΩAΩΩGAAA
GGAGGAAAGGAGGAAAΩGAAAAGAAAΩGGGAGGGGΩGGAGGGGGGGGGGGAAAAΩAΩGGAΩΩGGGAAAGGGGGAGGGΩGAGAΩΩΩGAGGAGGGGGGΩAAA

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