Recherches médicales contre le S.I.D.A.

D'abord, en l'honneur de Louis Pasteur, une anatoxine utile contre le lentivirus qu'est le Virus de l'Immunodéficience Humaine (VIH).

Pour l'étude du V.I.H, la création d'un ordinateur original biochimique a été nécessaire.
De plus, il a été nécessaire de le programmer.

Voici ce que l'ordinateur a créé :

Le moyen mathématique de détruire le Virus de l'Immunodéficience Humaine, découvert au début des années 1980 par Françoise Barré-Sinoussi et Luc Montagnié :


La fin du sida est écrite mathématiquement ainsi :
c=0 e=0 a=0 ; c=0 c= ++ =
++
++
+=


En science physique, ces équations symboliques se définissent comme suit :

C= C=+ C=

En biochimie, ces définitions se traduisent par :

H3N(+)-Cys-Cys-Cys-Cys-Cys-Cys-Cys-Cys-Cys-Asp-Ala-Ala-Ala-Ala-Ala-Ala-Ala-Ala-Ala-Ala-Ala-Ala-Alo-Alo-Alo-Alo-Alo-Ala-Alo-Ala-Alo-Ala-Alo-Ala-Ala-NH3(+)

où H3N(+) se lie au carbone alpha du premier acide aminé et remplace la fonction acide carboxylique de l'Alanine en 35ème position.
Alo est le code peptidique de l'Alona ou acide thioglutamique (voir ci-dessous).
Les acides aminés sont soit dextrogyres, soit lévogyres, d'où 2^35 combinaisons possibles.


Brevet: n°1109 no 2 :

Cette invention (c) LGPL Y.Désir est capable de détruire toute souche de VIH.
Pour cela, il est nécessaire de définir 2^35 molécules différentes : chaque acide aminé peut en effet être dextrogyre (D) ou lévogyre (L).
Le Bélénos, nom générique de cette invention, doit comporter deux exemplaires de chaque molécule.
Ainsi, 2^35 * 2 = 2^36 molécules per os sont ainsi nécessaires pour détruire l'ensemble des virus extra-cellulaires.
Il est à noter que la composante entièrement dextrogyre présente un intérêt crucial pour lutter contre une infection débutante.
Cela étant posé, il faut une préparation soluble de 10 μmol de Bélénos par voie orale pour endiguer l'infection par le V.I.H.


Yoann Désir



D'autre part, l'étude récente du VIH permet de penser que celui-ci utilise une molécule biochimique altérée qui peut être appelée la "calcinodine" ou encore "catherinase" puisqu'elle est cathodique et qu'elle attaque enzymatiquement et itérativement la molécule CD4 du lymphocyte T CD4+.


	CH2-CH2-CHOH-CH2-CH2-N.Ca

	

où le point "." est un électrion négatif de Z=1,A=1,q=+1,spin=0
Le VIH, lié à cette molécule par une constante d'affinité de 10^-9 mol/L, dispose de deux moyens différents de détruire le lymphocyte T :

Un moyen d'attaque et de protection : la captation des ions hydrogène H+ par son atome de calcium. Son moyen d'attaque au moyen de l'électrion négatif lié à l'atome d'azote lui permet d'attaquer et de forer la molécule CD4 pour l'empêcher de jouer son rôle indirect de recombinaison (latence : 3h) des gènes qui font la spécificité du TCR αβ, la chaîne polypeptidique α essentiellement. De plus, la CD4 est dotée de la capacité de transduction par l'intermédiaire de l'AMP cyclase qui lui permet théoriquement de libérer un rayonnement de photons contre un virus qui s'attaquerait à la surface du LT4.
Il est intéressant de noter que la fonction indirecte de recombinaison de la CD4 est produite elle-même par un signal photonique, ce qui introduit la notion d'équilibre énergétique de la cellule T4.
La cellule T8 en revanche est capable de libérer une énergie exergonique aux voisinages de sa membrane plasmique.

Merci à Lubert Stryer pour son oeuvre "la BIOCHIMIE" et son enseignement d'une qualité inégalable.

L'étude d'un nouvel aminoacide, l'acide thioglutamique ou "Alona" permet également d'ouvrir une nouvelle voie de lutte contre le VIH, tant théorique que médicale. En effet, cet acide aminé se lie à la chaîne α du TCR avec une affinité très rare en biochimie. Sa fonction thioester, d'une énergie libre de réaction de ΔG°'=-15,7 kcal/mol, est responsable d'une lyse photonique : un photon infrarouge donne un quark 1/2 T et un photon Orion o+ d'une enthalpie libre de 127 kcal/quantum. Ainsi, la boucle V3 de la gp120 se trouve inhibée définitivement de toute possibilité d'entrer dans le lymphocyte, ce qui permet de la détruire ou, au moins de repousser le virion, étant donné le rayonnement photonique qui protège la CD4 d'une champ électrodynamique protéique vectoriel V0, déclenchant la destruction du VIH.

Yoann Désir

Pour contrer les effets et l'attaque de la calcinodine, on peut tenter d'utiliser in vitro les deux molécules ci-dessous :

			     H
(1)			     |  +
	CH2-CH2-CHOH-CH2-CH2-C-H
			     |  2.0
			     H

(2)
	CH2-CH2-CHOH-CH2-CH2-N
			     |
			     N-Cl


	


(1) Cette molécule porte un hydrogène de type 2.0 où 2 est calligraphié.
(2) La seconde fonctionne en déclenchant une résonance des atomes d'hydrogène, qui vibrent tels que des photons électromagnétiques.

Bonjour,

Tout d'abord, un biopeptide d'intérêt qui peut avoir quelque efficacité in vivo ;
L'idée est que la fusion entre le virus et la cellule nécessite de la lumière.
Or, un corps noir ne libère aucune lumière.
Pourquoi pas chercher à éteindre la lumière dans l'organisme ?

ex:

		H+ H2N-CH-CO-NH- CH-CO-NH-CH-CO-NH-CH-CO-NH-CH-COOH
		       |	 |	  |	   |	    |
		       CH2	 CH2	  CH2	   CH2	    CH2
		       |	 |	  |	   |  +	    |
		    NH-CH-NH	 CH2	  CH3	   OH2	    CH2
		   /        \	 |			    |
		O=C          C=O S			    C=O
	           \        /	 |			    |
		    CH2	   CH2	 CH3			    SH
		      \   /
		       C=O
Les photons électrodynamiques sont piégés par le radical -OH2(+)
Les photons stables sans énergie peuvent être captés par le radical oeuf en première position, qui leur oppose un voile électromagnétique,
de sorte que ceux-ci se trouvent immobilisés.

Le pH doit être surveillé, car il varie de 1_ms/°pH_pH=1 1mol/L x 50 µL
d'où la dose précise : 50 µL avec une concentration molaire de 1 mol/L soit 50 nmol de principe actif.
Ne pas oublier que la formule compte un ion H+ impérativement pour des raisons de barycentre magnétique.


Un vaccin disponible en IM :

(BACLEULORECAC) avec B:Ali, U:Sel et O:Alo (voir ici)

Et son avatar anti-virus :

(BACLEULOREAC) avec B:Ali, U:Sel et O:Alo (voir aussi ici)

Ces deux biopeptides sont cycliques.
Le vaccin fonctionne de manière passive : il reste dans le sang et empêche la multiplication du VIH en le privant de lumière.
L'anti-virus émet au contraire de fortes quantités de photons pour lyser énergiquement le virion, dans le sang seulement.

Une autre tentative, plus épistémologique :
ACQUIREDIMMUyNODEFICIENCYSYNDROME
(O: Alo, U:Ury, Uy: 7-Urcy-9 )

Cette découverte présente chez le Castor, liée aux Lymphocytes T, en fait la seule espèce parfaitement protégée contre le VIH et ses analogues expérimentaux injectés chez l'animal.

Ainsi, ce biopeptide serait capable de propriétés sans précédent...

Efficacité de 100,0 %, efficacité de protection : 100%.
Démonstration :
α = c + b.
axiome : α

L'antidote au VIH de type 3 :
		  NH2
                  |
		  C
		//  \                       _
	       N     C---N		   O
	       |     ||  \\                |
	     O=C     C    N NH-CH-CO-NH-CH-C=O
                \   / \  /     |	|
		  NH   NH      CH2	CH2
			       | 	|
			       CH2	C=O
			       |	|
			       C=O	SH
			       |
			       OH


L'azote 8 remplace un atome de carbone 8 dans le cycle purine.
Cet atome d'azote se lie à un atome d'azote du résidu acide carboxylique standard par une liaison ionique hydrogène.
Les acides aminés de cette formule sont lévogyres.

Efficacité théorique : 99% frontale, 100,0% préventive.

Démonstration :
α = α + β.c++;c+,d+,d++
Preuve : α
Preuve axiomatique : α
Axiome : α;

Une découverte d'intérêt : un anticorps plurivalent dont voici la spécificité :

CDR 1 (L-acides aminés) : AEO (O: Alo)
CDR 2 (L-acides aminés) : ABOO (B: Ali, O: Alo)
CDR 3 (L-acides aminés) : ABB (B: Ali)

Il se lie à son antigène avec une affinité estimée à 10^-8 mol/L en provoquant la lyse par ADCC du virion. Il y a protéolyse et explosion de la membrane plasmique (ADCC de type 8).
Une action par phagocytose ou lyse par le complément est suggérée pour la destruction du VIH de type 1...

Pour mémoire : Info-protéines contre le VIH recombinant avec des cellules de Mammifère.

mort au virus !

Un mot d'introduction par Nancy Huston.
Ma plus belle découverte : LE vaccin contre le S.I.D.A., naturellement produit par les Listeria.
Il s'agit tout simplement de ces deux formules faites d'acides aminés dextrogyres.
La première a une demi-vie de 20 ans.
La seconde peut être avalée et passe la barrière digestive avant d'être réduite par la vitamine C :

Le vaccin contre le SIDA : Trp-Ola-Arg-Thr

Une information qui pourrait apporter beaucoup à chacun :
Le plus simple vaccin contre le SIDA serait l'acide aminé Glycine pur par voie orale fortement concentré.
En effet, celui-ci, oxydé lors du processus de nutrition/digestion, doit être régénéré pour permettre la synthèse des protéines.

Ce vaccin est le plus rapide, le plus puissant et celui engendrant une réponse immunitaire protectrice la plus accrue de rencontre avec l'antigène, le virus de l'immunodéficience humaine.

H2N-CH2-COOH pour vacciner l'espèce humaine du sida, génial, non ?
Avec mes compliments à François Ritter et Yves Lévy, respectivement médecin et professeur de médecine,
je vous salue bien respecteusement, ce qui intègre ces pages est sérieux, d'où la LGPL U accordé pour l'utilisation PRUDENTE éventuelle NON-COMMERCIALE et, une fois de plus, PRUDENTE la plupart des thèses exposées ici étant en cours de validation (mais vraies, par le calcul mathématiques symbolique dans IR infini en puissances n-ièmes et en puissances croissantes, par exemple :) :

Démonstration de l'efficacité vaccinale de la Glycine pour lutter de manière immunitaire par réponse immunitaire à médiation humorale RIMH :

α + α = α
α + α = α
α + α = α α
α + α = α + α =
α + α + α = α ++
α + α + α = α α +++
α + α = α + α
α α α =
α =

Preuve de la démonstration :

α

Preuve de la preuve :


		      1
		int -----
		      α

Possibilité de résolution du SIDA de manière imparable mathématiquement : l'Anamorphisme en biologie.

Ma découverte la plus énergique : La Galaxia, qui induit une sorte d'"explosion moléculaire" du virus, qu'il soit sous sa forme de virion ou de dérivés moléculaires protéiques ou génétiques (ARN ou ADNc), même à l'intérieur du noyau de la cellule.

Un biopeptide très récent : Le Rodyne, composé de 11 acides aminés qui constitue un inhibiteur très efficace de la reverse destructase, l'enzyme clef de la réplication du VIH (elle n'est pas identique à la reverse transcriptase) et qui convertit les acides aminés lévogyres normaux de l'être humain en acides aminés dextrogyres anormaux du virus... Cette enzyme très néfaste se réplique elle-même toute seule dans l'organisme, favorise la propagation du virus d'une cellule à l'autre, et serait aussi impliquée dans le processus de conversion de la PrPc, protéine de mémoire des neurones, en PrPres, protéine altérée qui s'accumule dans les Encéphalopathies Spongiformes, dont l'E.S.B. (B pour Bovine) et la Maladie de Creutzfeld-Jacob...

Le Rodyne, LGPL U

Le Rodyne aurait donc éventuellement aussi des effets bénéfiques contre la maladie de la "vache folle", qui ne serait peut-être plus incurable : les ruminants échapperaient-ils ainsi à l'abattage ? (on peut en rêver).

Les formules ci-dessous doivent être interprétées comme des peptides faits d'acides aminés lévogyres : à chaque lettre majuscule correspond un acide aminé ; par exemple, le T correspond à Thr, la thréonine. H à His, l'histidine, E à Glu, le glutamate, etc.
Voir les acides aminés standards et leur code littéral.

Le Flam, ou méthode de lyse Anti-Virale Extra-Cellulaire (AVEC) :

AVEC Flam

Les résidus de glutamate et d'arginine fournissent une fonction carbonyle liée à la sérine pour lier les trois chaînes biopeptidiques. Cf ici pour la définition d'Alo, d'Ali, d'Ole et Ury.

A noter que certains principes actifs comme le Yoannix, le Shielder, l'Epée de Thor et l'Alenix ont, semble-t-il, été repris dans deux médicaments anti-sida : le SIDOSTOP© et le RIBOSTOP©.

Nota : sauf pour la biotina (où C6O(.) est une formule brute atomique), les lettres désignent toutes des acides aminés :
(B pour Alina et O pour Alona), sauf le U qui correspond à l'Uridyne voire à la Diapason.
Voir la partie "nouveaux acides aminés et nouvelles bases azotées" pour plus d'informations sur l'encodage.

Et pour finir cette liste intéressante, la formule détaillée d'un bionucléotide, du type Illumino : l'Endothevir (la lumière en arabe) : L'Endothevir, un merveilleux bionucléotide
Cette molécule est capable de convertir un virus en forme de vie inoffensive.

Une autre de mes inventions consiste en la recréation de la vie cellulaire : l'Ascadis.
Sa structure est elle aussi de type Illumino, et constitue donc un autre bionucléotide ;
L'Ascadis, un magnifique bionucléotide

Un mot d'épistémologie du V.I.H...
Je décris avec des mots simples l'origine du VIH ainsi que la mutation responsable de son caractère pathogène à des fins de vulgarisation scientifique expliquée aux enfants.

Méthodes originales non-prouvées :
Voici : de mon point de vue, il est possible qu'on ait fait fausse route dans l'explication de l'étiologie du syndrôme d'immunodéficience aquise.
Mon hypothèse est que le problème vient de la pose d'un microprocesseur ultra-plat à effet plasmique augmentant, en quelques secondes, la température cutanée de 3°C.
Ce résultat viendrait d'un effet piézo-électrique sur une fréquence de 433 MHz selon un signal codé "O" en ASCII répété toutes les secondes (fréquence : 1 Hz).
Il semble qu'on retrouve la présence de "points chauds" en zone péri-vulvaire, ou abdominale, ou encore fessière.

Dr Yoann Désir


Dernières nouvelles : comment détruire le VIH par résonance d'échelle par interférence neutrino avec l'appareil adéquat : par exemple, un simple calculateur hp50g : voir ici.
Démonstration élégante comme suit (mais en Mathématiques modernes des années 70, comprenne qui pourra)
(tout le monde n'a pas le prix Nobel de Médecine ou la médaille Fields) :

A+B = 0
A+B = 00
A+C = 003
A+D = 004
++

"Mangez des poires"

Encore plus important dans la lutte contre le VIH : manger des pépins de poire, qui contiennent environ 0.1 mol/L d'un sucre, le L-desoxyribose linéaire. Cette molécule serait capable de déstabiliser le VIH à travers le corps humain en quelques heures. (le délai augmente si le tube digestif est endommagé par une autre maladie ou une autre médication). Quoi qu'il en soit, manger des poires avec leurs pépins protégerait, d'une manière préventive d'une réinfection, pour une durée d'environ un mois.

Pour lutter contre la VIH de type IIa, voir ici.

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Excepté le Résoléno, découvert par Laurence Larue et déposé sous la LGPL, les découvertes présentées dans ces pages sont déposées selon la Licence Globale Publique Libre Universelle : LGPL U.
Certaines découvertes n'ont pas encore été testées, donc ces informations sont sans aucune autre garantie.